Pour une notoriété absolue, il ne faut pas que l'image, On doit y ajouter un texte, Pour la consistance, et la perception plus didactique, de cette image. Qui aille pleinement, avec son contexte.
Pour moi, le Louvre est une entité à part entière, Dont l'identité est pleine est entière. Le radeau de la méduse, exposé au Louvre, On médite devant ce merveilleux tableau de DELACROIX, l'actualité nous percute au LOUVRE.
On se demande si Delacroix, n'a pas imaginé son tableau, avec des paraboles, Comme pour nous montrer des symboles Comme pris dans une mer déchaînée, avec une seule envie, Ces naufragés luttent pour leurs survies.
Plus de place au contrôle, C'est le temps de la peur, Et même parfois aux erreurs, la fuite de la raison pour laisser place, aux combats sans contrôle.
la lutte qui anime l’œuvre, est l'instinct de survie de l'homme, cela devient tellement d'actualité, avec l’exil dans ses barques surchargés de migrants, échappant à la guerre vers des pays ou la vie est devenue trop dure pour d'autres hommes, alors la compassion n'est plus de mise pour les rescapés, reste la survie pour les habitants. THOMAS André
Ajoutée le 28 oct. 2016
RépondreSupprimerTHOMAS ANDRE, auteur, écrivain ,poète, http://thomasandre.orgfree.com/poemes...,
MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,créatrice de la photo-peinture, photo painting,
Martine ANCIAUX creator of the photo painting, new art of the photo painting, art photographer,
©LES TABLEAUX PARLENT AU LOUVRE POÈME THOMAS ANDRÉ©
Pour une notoriété absolue, il ne faut pas que l'image,
On doit y ajouter un texte,
Pour la consistance, et la perception plus didactique, de cette image.
Qui aille pleinement, avec son contexte.
Pour moi, le Louvre est une entité à part entière,
Dont l'identité est pleine est entière.
Le radeau de la méduse, exposé au Louvre,
On médite devant ce merveilleux tableau de DELACROIX, l'actualité nous percute au LOUVRE.
On se demande si Delacroix, n'a pas imaginé son tableau, avec des paraboles,
Comme pour nous montrer des symboles
Comme pris dans une mer déchaînée, avec une seule envie,
Ces naufragés luttent pour leurs survies.
Plus de place au contrôle,
C'est le temps de la peur,
Et même parfois aux erreurs,
la fuite de la raison pour laisser place, aux combats sans contrôle.
la lutte qui anime l’œuvre, est l'instinct de survie de l'homme,
cela devient tellement d'actualité, avec l’exil dans ses barques surchargés de migrants,
échappant à la guerre vers des pays ou la vie est devenue trop dure pour d'autres hommes,
alors la compassion n'est plus de mise pour les rescapés, reste la survie pour les habitants.
THOMAS André